A vous qui avez tout essayé pour me l'enlever encore une fois...
Vous qui avez tenté de le salir, qui avez nié l'évidence,
vous qui avez usé de mensonges,
vous qui l'avez trahi...
Peine perdue...
vous avez échoué!
rien de ce que vous pourrez faire ne me le prendra...
il est là, derrière mes paupières, il surgit dès qu'elles se ferment.
Il est dans mon coeur, derrière chaque ombre de mes souvenirs,
dans les traits de mon visage, dans la forme de mes mains...
Et si ma peine, à moi, est bien là, vivante
et brûlante encore,
elle se fait plus douce le jour...
La mélancolie passagère |